La préservation de l'espèce marine, et des tortues en particulier a permis de voir les tortues vertes et carets, fréquenter à nouveau les plages de Glorieuse d'où elles avaient complètement disparues.La tortue verte, espèce en voie de disparition, fait l'objet d'une réglementation internationale établie par la Convention de Washington. En dix ans, la population a plus que doublé, et les frégates sont assez nombreuses à survoler l'île, épiant les émergences.
Le comptage des traces de tortues, effectué quotidiennement par le gendarme, se situe côté Nord-Ouest de l'île, mais des traces de plus en plus nombreuses concernent également depuis quelques années le Sud-Ouest de l'île.
Globalement depuis 1960, la protection de la nature et de l'environnement ont été positifs, notamment dans le domaine des tortues marines, mais il reste encore des travaux à accomplir, afin que Glorieuse mérite bien le nom de réserve naturelle.